De nos jours, la gente féminine burkinabè s’est laissée emporter par la mode en matière de coiffure et a tendance à abandonner les nattes qui nous ont été laissées en héritage par nos grand-mères. Il s’agit par exemple du « Paneem mooré » ou du « Wennega », ces nattes qui, il y a plus d’une décennie, faisaient la fierté des jeunes filles burkinabè.
Les « tapis », les tissages, les chignons « flatus », et autres, voilà les coiffures qui, aujourd’hui, ont remplacé le « Paneem mooré ».
Les modèles comme le « djèm taoré », encore appelé « 4-Août », le « Fatou » et « le tour du Faso » que les jeunes filles portaient avec fierté il y a de cela plus d’une décennie disparaissent de plus en plus du paysage burkinabè, et plus particulièrement à Ouagadougou. Mis à part les journées culturelles des lycées et collèges où ces coiffures sont remises au goût du jour, il est difficile de les croiser en circulation.
source:burkina24.com
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